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FAQ_Actuel_Roulons_Electrique

Année 2011


Novembre 2011, Mix énergétique de l'électricié en France - Evolution - Taux de CO² au kWh selon le jour et l'horaire

Découvrez tous les chiffres et les graphiques.

Décembre 2011, Planète Terre en voie vers l'agonie :

A Durban, Le Canada en renonçant à son engagement au protocole de Kyoto, signe la fin de la planète en rejoignant le clan des plus gros pollueurs (USA, INDE et CHINE) car il donne un mauvais signal aux vertueux.

Le Canada ne pouvant assumer financièrement son non respect du protocole de Kyoto après avoir augmenté de 30% sa production de gaz à effet de serre (pétrole schisteux de l’Alberta) au lieu de la réduire de 6% (par rapport à celles de 1990), préfère ne pas respecter ses engagements et ne pas payer l'amende de 14 milliards de dollars aux états qui on fait l'effort de diminuer leurs émissions. Pour se dédouaner le Canada tente de faire croire qu'il se ralliera sur les futures décisions qui s'ouvrent sur les bases du sommet de Durban.

Je vous incite donc à boycotter tout ce qui est Canadien. A noter que la province du Quebec se désolidarise nettement d'Ottawa sur ce point. Le Canada n'étant pas un pays en voie de développement tout comme les USA n'a aucune excuse.

Pour la Chine et l'Inde leur émission par tête d'habitant étant bien inférieure à celles des USA et du Canada ont comprend bien que ces deux pays ne soient pas encore rentrés dans Kyoto (ils veulent leur part moyenne des cadeaux fournis la terre).

Les Scientifiques annoncent que l'objectif de limitation à 2°C de la température de la planète pour la fin du siècle est dorénavant impossible à tenir, il s'agit maintenant de défendre la barre des 3,5°C d'augmentation à la fin du siècle ... A cette température il n'y a plus de glace sur les pôles ... Londres sera noyé comme New-York, Boston, Miami, Los-Angeles, Seattle (ville basse), Marseille, Bordeaux, Rio de Janeiro (ville basse) sous 10 m d'eau ... Des pays comme le Bangladesh n’exsiteront plus ... Quand aux "Palm Island" elles auront totalement disparues ... C'est le temps qu'il faisait sur la planète Terre il y a 320000 ans.

Rappelons qu'en France notre président à dit "L'écologie cela commence à bien faire" après avoir promis monts et merveilles en matière d'écologie pour se faire élire.

Prochain rendez-vous au Quatar en 2012.


Année 2010


01/01/2010 : Taxe Carbone (France)

Le point sur "feu" la Taxe Carbone ou contribution Carbone.

Cette taxe partait sur de bonne base "suite du Grenelle de l'environnement" mais a été complètement dévoyée par les juristes des lobbies des plus grands pollueurs:
Exemples: Raffineries, transporteurs routiers, transporteurs aériens, grandes industries, centrale thermique qui avaient obtenu leur exemption de cette taxe dans le texte de la loi!
Résultat le 29 décembre 2009 à 21H00, Le conseil constitutionnel annule la loi qui devait rentrer en vigueur ce 1er Janvier 2010...
Est-ce une bonne chose pour l'avenir de la planète? Clairement OUI !...

Le contre-choc, va faire un effet terrible et obliger de repartir sur un principe égalitaire sur le principe du pollueur payeur. Le gouvernement pourra s'arguer du retoquage par le conseil constitutionnel pour aller plus loin. La loi ne correspondant plus à ces objectifs initiaux en terme de lutte contre le réchauffement climatique: c'est-à-dire la lutte contre l'utilisation des énergies fossiles carbonées...

A trop en vouloir, les lobbies pro pétrole en gagnant cette bataille viennent de perdre la guerre !


05/02/2010 : Recarbonisation de l'éléctricité en France ?!

Voiçi une news de SLC (Sauvons le climat) que nous soutenons: Le projet de loi sur la nouvelle organisation du marché de l’électricité (NOME) :
Risques sérieux d’augmentation des émissions de gaz carbonique.

En France, le parc de production d’électricité, quasi totalement « décarboné », est le 4ème secteur d’émission de gaz carbonique. Dans la plupart des pays industriels étrangers, les parcs de production électriques sont les premiers secteurs d’émissions. Ceci explique que les émissions de gaz carbonique par habitant sont significativement inférieures en France par rapport à celles autres des pays industrialisés.

Le projet de loi dite NOME (acronyme de Nouvelle Organisation du Marché de l’Electricité), prévu pour améliorer la concurrence dans le secteur de l’électricité présente un risque sérieux de « recarbonisation » du parc de production. Aspect qui préoccupe fortement Sauvons le Climat.

Obliger l’opérateur historique, par la contrainte légale, à rétrocéder à des entreprises concurrentes une partie non négligeable de sa production à des prix très inférieurs au coût complet de production en base prévu pour les nouvelles unités électronucléaires et hydroélectriques, porte un coup d’arrêt à tous les nouveaux projets quel qu’en soient les promoteurs.

En effet, dans tous les secteurs industriels, les investisseurs n’apportent des capitaux pour de nouvelles installations de production que si deux conditions sont remplies :

  • Le besoin existe,
  • Le prix du produit sur le marché, au moment où la décision est prise, est supérieur ou au moins égal au futur coût complet de production de l’installation projetée.

Or les prévisions faites en 2008 par les services de l’Etat dans les études sur les coûts de référence montrent que la production de base dont le kWh est le moins cher est celle d’un EPR qui donne une base 100 à comparer à 170 pour la production d’un cycle combiné à gaz. Avec une différence fondamentale, pour le nucléaire 75 % du coût représente des charges fixes et 25 % des charges variables alors que le rapport est inversé pour le gaz. Nucléaire et gaz sont équivalent en coût seulement pour de la semi-base. Edf dans son document 2008 « investor day » donnait une valeur de l’ordre de 55 €/MWh pour le coût de production en base de l’EPR c'est-à-dire environ le prix actuel de l’ électricité sur le marché des pays de la plaque continentale de l’Union Européenne.

Ce coût est bien supérieur à la valeur actuelle du coût complet sortie des unités actuelles dont l’amortissement est largement engagé.

Les dispositions de la loi NOME, dans l’état actuel du projet, créeront donc :

  • Un marché concurrentiel purement artificiel animé par des traders seulement attirés par l’effet d’aubaine créé par la loi et nullement décidés à investir dans des unités de production en prenant des risques financiers, industriels et sociaux.
  • Des achats réalisés sur le territoire français par des opérateurs étrangers intéressés par la zone « low cost » française et une revente à un prix de marché largement supérieur dans leur pays. En contrepartie, la nécessité d’importer de l’électricité « européenne » fortement carbonée à des prix sensiblement plus élevés
  • Un blocage de tous les nouveaux investissements de production d’électricité en France et une réduction drastique de l’excédent brut de l’opérateur historique, excédent qui permet la constitution des réserves financières nécessaires pour engager les nouvelles réalisations.
  • Un enrichissement sans cause, et sans investissement de production de base « décarbonée ».
  • Et, très rapidement, une situation de pénurie face aux besoins nationaux.

Ainsi, à un terme rapproché, lorsque les marges de production et consommation seront devenues inférieures aux valeurs de sécurité, le prix du kWh augmentera très rapidement en raison de sa rareté et les investissements les plus courts à réaliser seront mis en œuvre. Or ces outils sont les cycles combinés à gaz qui utilisent en abondance un hydrocarbure rare aux autres usages multiples, ce qui est un non sens en matière de développement durable. En outre ils produiront un kWh en base nettement plus onéreux que le nucléaire et ils relanceront les émissions de gaz carbonique d’origine anthropique.

Sauvons le climat demande aux parlementaires d’examiner avec soin, les conséquences désastreuses de ces dispositions du projet de loi NOME pour que ces écueils soient évités et que les logiques d’investissements durables restent plus fortes que les logiques spéculatives.

Découvrez toutes les news de SLC [sur leur site web.]


15/03/2010 : Traversée des Alpes en véhicules électriques

Chaque année depuis 2006, la Traversée des Alpes en véhicules électriques est organisée durant la semaine Européenne de la mobilité durable et l'opération "Bougez Autrement" du gouvernement Français.

Un évènement imaginé par Jean-Marc Dubié, co-organisé par les associations AVEM et MOBIL'ECO.

La 5ème édition se tiendra du 17 au 20 septembre 2010.

L'organisation de la traversée sera présente sur le stand AVEM à EVER MONACO du 25 au 28 mars 2010 pour vous présenter l'évènement et vous inviter à participer avec un véhicule à traction électrique de 2 à 4 roues.

Cette année au programme dans une ambiance fantastique et ludique, ou toute notion de vitesse est proscrite nous irons de Gap à Nice:

  • Départ de Gap du lycée Paul Herault afin de sensibiliser le monde de l'enseignement professionnel sur la nécéssaire bascule de la formation des jeunes au moteur à pétrole vers le moteur électrique et ses batteries: Exit les pots catalytiques, l'usure des freins, les vidanges, les boites de vitesse, les embrayages
    Entrons dans l'univers silencieux et non polluant des moteurs électriques, des onduleurs et des batteries: le monde change !
  • Nouveautés 2010: Vendredi: le parcours élastique, une sélection impitoyable des véhicules les mieux maitrisés par leur conducteur et possédant la jauge batterie la plus précise.
    Ce ne sera pas l'autonomie maximum qui comptera mais la précision de la mesure de l'automie restante.
    Ce Parcours élastique se tiendra entre France et Italie sur le col de Larche au départ de Jausiers,
  • Samedi, comme chaque anneé le record d'alitude en véhicule électrique: 2802 m
    le plus haut col d'Europe sera à gravir à parir de Jausiers,
  • Puis de St Sauveur sur Tinée, nous rejoindrons Nice via un nouveau col. Nice sera la ligne d'arrivée 2010 avec la cérémonie de remise officielle des diplômes.

Le peak oil

Ou en est t'on ?

Sur ce lien les chiffres officiels du monde

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